Respect ! buzitu à ces mamans qui se lèvent tôt, parcourant des kilomètres et des kilomètres, pour travailler la terre, afin de nourrir leurs familles. C'est aussi grâce à elles que les citadins peuvent bien manger ! Mais, la société sait-elle bien le leur rendre? tant de travail pour si peu de gain. Elles croupissent sous le fardeau de l'inflation, à l'indifférence notoire des décideurs publics... c'est pour cela qu'il y a des nzenga.
Partout où se porte le regard de Theo, il ne voit que morceaux, pièces, lambeaux d'un monde qui se déconstruit. Car en effet, cette pensée unique du monde global qui veut nous faire croire que d'un bout à l'autre de la planète les hommes auraient les mêmes aspirations et les mêmes satisfactions est un leurre...
A travers des textes de réflexion et des pensées constructives, puissions-nous recoller les Nzenga (débris) d'un monde qui ne cesse de s'effriter, par manque de considération et de respect à l'altérité. La dignité humaine est notre passion et le devoir de se souvenir pour transmettre, notre préoccupation: "Nsimu ni mayela", les repères facilitent l'acquisition de la science !
Respect ! buzitu à ces mamans qui se lèvent tôt, parcourant des kilomètres et des kilomètres, pour travailler la terre, afin de nourrir leurs familles. C'est aussi grâce à elles que les citadins peuvent bien manger !
RépondreSupprimerMais, la société sait-elle bien le leur rendre? tant de travail pour si peu de gain. Elles croupissent sous le fardeau de l'inflation, à l'indifférence notoire des décideurs publics... c'est pour cela qu'il y a des nzenga.