En partant de
l’ouvrage du philosophe infatigable de l’être qui doit être “muntuïsé”
Theodulos Auguste KOUNKOU KUE sur NKAADI publié en autoédition en 2017 et qui,
de mon point de vue, met en lumière plusieurs pistes de réflexion sur le bien
du commerce, j’ai l’immense joie de présenter mes voeux à notre lectorat.
Que l’année
2018, lui soit agréablement fertile dans ses suggestions ou remarques dans
l’étude et réflexion sur des thèmes ou idées autour de notre “Nzenga-Mbongi”.
Que l’année
2018, soit pour notre “Nzenga-Mbongi”, comme le relève à juste titre, Theodulos
KOUNKOU KUE, comme une sorte de zaandu ou marché qui, jadis fut aussi un lieu
de socialisation : “yota zandu”, on y venait, observe-t-il, pour passer du
temps avec des connaissances d’autres villages, se saluer, prendre des
Nouvelles de la famille, recevoir ou envoyer un colis à un parent établi au
loin, par alliance ou part pour y effectuer un métier, on venait y faire des
commissions pour des tiers. [ Nkaadi De l’économie circulaire autoédition 2017.
P.90.]
Faisons de notre
“Nzenga-Mbongi” l’année 2018 durant, une sorte de marché ou zandu qui, jadis
fut aussi un lieu d’échange de nouvelles ou de communication à l’effet d’être
informé de tout ce qui se passe au village et dans les contrées
environnementales.
C’est à ce titre
que le colonel BARATIER ayant participé à la mission Marchant de Loango à
Brazzaville les années 1880 rapporte que :
“ le marché est toujours une grande
distraction…L’attraction du marché vient du désir d’échanger un produit contre
un autre…Cette attraction résulte aussi du Plaisir qu’ont les hommes à se
réunir à se communiquer les Nouvelles.” [ Nkaadi Op.cit P.24.]
C’est dire que
les voeux qui me tiennent à Coeur à l’endroit de notre lectorat sont ceux de la
sagesse qui construit l’être en développant en lui la culture de l’altérité.
Pour y parvenir l’échange, le partage et l’écoute et la réflexion sont
certainement des ingredients d’une importance capitale qu’il conviendra de
promouvoir autour de notre
“Nzenga-Mbongi” !
Que vive la
Cause Africaine pour le Développement Intégral de l’être ou MUUNTU.
Ba mbuta ba ta ki ngana: "Mbeele musongi bu yi zimbakana, mbuka ni mbuka kua ba tombela yo". Mbeele yo ni nkaanku. Nkaanku ni kisalulu kio ki mu hana lenda dia sadila salu kiandi. Mbo ka tenda ma ba, mu baka ntsaamba, mbo ka sadila nkaaku, mu zeenga kiazi kia ngazi. Nkaanku ni ngaangu za musongi ! Ngana yi yeti ku tu luengesa ti, tala diambu die naku, fueti toma yindula. Mayindu ni ntombolo nzila mu yidika msamu wu fuanane. Yindula kue nkiana baluzula kua kima, na te bu zaba suasakasa kima kio, ngaana bue kiena ? Bo bueneti ndukulu diambu tu taama saka pele ko tomba tueti toomba mu bakula, ni sungamana tu kue sungamane, ngatu mbuka tu bakila mutsamina wu tu tsaminika ! Ka, tsatsakana ka ku vulu andi yoka, buuna ntamana weka nkiana kasa: "kasa kiteto kia yoka buidi ku boombi dia tiya" ! Dia ngana, mbeele musongi bu yi zimbakana, mbuka ni mbuka kua ba tombela yo, ka bu toomba mbeele aku, fueni toma zungidila bitini bi yi lenda ba; tala kaani, ntamana wele ku ki tuba mu banda die ntsiokila. Wa tomba zaba tomba, wa dinga zaba dingalala ! Mbanzulu za laki dia lolo ni wo zi sukini. Tuendeno yindudi, ngatu tue bakudi ! THAUKO.COM - Kimuuntu kua !
L'autocritique et l'autodérision ne sont le propre que des personnes aguerries, celles qui savent rire des bassesses de ce monde sans s'offusquer ni se laisser prendre la mouche pour des billevesées qui,quand bien même sortiraient de la bouche des plus haut "dignitaires" de ce monde.
Pourquoi nous ne nous indignons pas pour cette jeunesse qui continue à sortir de l'Afrique pour finir dans la méditerranée ou devenir esclave dans les pays asiatiques et ailleurs où elle végète sans perspectives d'avenir, lorsqu'elle ne rêve de s'illustrer que par la danse, la religiosité à l'eau de rose, etc, ou pire encore par un clientélisme au rabais ? Cette indignité ne semble émouvoir que des "petits esprits"qui suscitent des tribunes de réflexion auxquelles les mieux lotis auraient le regard bien tourné vers des absurdités et s'en moqueraient éperdument ! Par contre, si quelqu'esprit virulent venait à mettre des mots justes sur les maux injustes qui affectent l'Afrique ou les africains, alors là ! Vous ne sauriez plus contenir leur économie de rage et de frustration. Lorsque le ver est dans le fruit, avec des responsables irresponsables qui ne font rien ou du moins pas grand chose de façon que les africains et l'Afrique deviennent la risée du monde entier; dire qu'un chat est un chat deviendrait sacrilège !
Lorsque je sillonne la toile, je suis interloqué par le nombre des "Direct" vidéos où tant d'hommes et de femmes excellent en évangélisation spectacle à l'américaine, comme si nous n'avions plus d'identité et que nous n’existerions plus que par procuration ! L'Evangile = Bonne nouvelle est bien une bonne nouvelle à ne pas confondre les usages pervers qu'on en fait quelques prétentieux pour d'autres raisons que le salut des âmes... toutes ces scènes de ménage ou des histoires des familles livrées à la vindicte publique nous distinguent bien drôlement d'autres humains, car nous avons tellement les sens de nous mépriser nous-mêmes que nous ne supportions que d'autres nous renvoient ce que nous reflétons.
Si nous avions un peu de sens critique, nous nous apercevrions que les autres ne nous rendent que ce que nous méritons. Un ami, citant ses beaux parents me disait: "pour être respecté, il faut être respectable"! Comment voulez-vous parler d'Etat, lorsque dans un pays, l'administration est incapable de fournir un acte de naissance à une famille qui vient d'accueillir un nouveau né et que l'obtention d'un passeport puisse relever d'un privilège ? Des pays où la corruption est légion et que rien ne fonctionne selon le modèle de l'Etat importé, cela n'émeut personne. Par contre, dès que quelqu'un d'un peu indélicat, comme le fut ce ministre français qui traita des pays Africains de "quasi Etats", mette les mots sur une réalité indescriptible, le pauvre fut stigmatisé de raciste et de je ne sais de quel nom d'oiseau...
L.S. Senghor n'eut certainement pas une mauvaise inspiration de dire que l'émotion était Nègre !
A observer le traitement des autochtones dans leur pays, au regard des égards dont bénéficient certains d'entre eux ailleurs, un étranger serait-il forcément dérangé mentalement que dire de ces pays que ce sont des pays de M mot dit ! THAUKO.COM Un Monde - Juste-Humain.
La raison flotte sur le sommet des montagnes comme un étendard, tandis que le fanatisme et la médiocrité se couvrent de brume ou de brouillard sur les coteaux. THAUKO.COM Un Monde Juste-Humain !
L'effet-puits, pyramide inversée ? Les bourreaux se victimisent et les victimes sont traités de coupables ! 1998-2018 = 20 ans de scénarios cyniques, funestes et macabres.
Le Monde se souviendra des massacres inutiles du Pool au Congo.
Veuillez me permettre de remonter un peu le temps, pour nous situer dans le contexte qui m'offre l'opportunité de vous adresser nos vœux, les meilleurs pour cette nouvelle année 2018 !
Nous avions créé ce blog en 2010, pour ouvrir un espace d'échange et de partage à travers les réseaux sociaux, au sujet de ma première publication en auto-édition intitulé "Nzenga G-10-NON." Durant trois ans, nous avons essayé d'y diffuser quelques articles dont celui de mon évêque émérite de Saint Denis-en France, le Père Olivier de Berranger, aujourd'hui témoin de nos galères et sûrement notre intercesseur auprès de l'Eternel. Son message diffusé aux premières heures de cette aventure fut pour moi, un grand soutien et d'un encouragement significatif. Je me permet de vous le partager de nouveaux:« … j’ai lu ce texte avec passion. Sa diffusion sera limitée, mais je
l’espère, assez élargie pour permettre à d’autres Bernadette et Alfred du 93 et
au-delà de mieux deviner les questions tant humaines que géopolitiques qu’un
homme comme toi peut exprimer au nom de beaucoup qui se taisent.
Cela fait mal, mais tu as su employer un ton où l’humour et l’espoir ne
sont pas absents, dans un ardent désir de faire la vérité sur les souffrances
cachées des Congolais, tes frères, restés au pays ou…expatriés. Et d’autres de
ce grand continent, riche et spolié.
MERCI.
Je vais garder ce brûlot, le relire, m’en nourrir, comme on mâche une boule
de manioc, afin de m’en faire humblement l’écho chaque fois que je pourrai, et
de mieux écouter ceux qui en témoignent. On se sent petit…
Bien fraternellement à toi et aux tiens dans le Christ Seigneur,
+ Olivier de Berranger, évêque émérite de Saint-Denis – en France »
Ce message percutant demeure pour moi le leitmotiv qui m'a conduit à la production annuelle d' ouvrages susceptibles de transmettre une certaine mémoire à celles et ceux qui ne savent qui sont-ils ? D'où viennent-ils ? Où vont-ils ? Un autre témoignage accompagnait cette première publication: "MARDI 18 MAI 2010
Cher
Theodulos, merci de ce cri.
Le monde est en « morceaux » : n'zenga !
La communauté humaine est fissurée, la personne humaine est mise en morceaux.
Les pauvres se nourrissent des morceaux qui tombent de la table des riches,
mais les riches sont aussi mis en morceaux par les guerres qu'ils se livrent
sur le dos des pauvres.
René Girard, dans son dernier livre « Achever Clausewitz », décrit la situation
relationnelle mondiale : « Entre le commerce et la guerre, il n'y a pas de
différence de nature, seulement une différence de degré ! »
Quand c'est le commerce qui dicte la vie de la communauté humaine, c'est de la
guerre qui tait son nom et la communauté humaine est mise en morceaux.
L'homme n'est pas une bête de fabrication et de consommation, il est un être de
relation, fait pour l'amour et la communion.
La « rencontre des autres » qui est la passion de Monsieur Kounkou-Kue est
détruite par les deux bouts : détruite chez les riches et détruite chez les
pauvres.
Où est l'espérance ? Elle est dans le partage. C'est l'autre versant des
morceaux !
D'un coté ils sont le morcellement de tout, mais de l'autre coté, ils sont la
moitié de ce que j'ai et que je peux partager avec l'autre. Ce petit bout de
rien que je peux encore partager.
L'espérance aujourd'hui, aux jours de la mondialisation de la communication,
est dans le partage, mais pas seulement le partage du pain, il faut aussi le
partage des services et celui de l'intelligence.
L'espérance est dans la citoyenneté mondiale, vécue par les nouvelles
générations, au-delà des nationalismes, et sans délaisser les richesses
culturelles.
Il ne faut pas amalgamer richesse culturelle d'une Communauté avec nationalisme
d'un Etat.
Le découpage des Etats sera relégué dans les catacombes de l'histoire, tandis
que les richesses culturelles pourront être emportées avec soi et vécues
partout. La terre est petite et ronde !
Le troisième millénaire est celui du « village mondial ».
Le partage s'impose à la conscience et c'est la grâce de l'Afrique noire de
l'avoir inscrit dans ses cultures, c'est ce qui lui permet actuellement de
survivre aux pillages des prédateurs.
L'humanité est désormais toute entière assise à la même table. La grâce de
cette table sera le partage. Attendre que tous soient servis avant de commencer
à manger !
Sept publications ont vu le jour, traitant des thématiques aussi diverses que variées touchant les phénomènes de sociétés contemporaines et particulièrement Africaines, à partir d'un regard qui part de loin, pour aller revisiter mon berceau culturel... l'écriture devint alors le pont qui me relie aux miens restés au pays et la lumière qui éclaire mon quotidien chez les autres, avec qui nous avons à composer un mieux vivre ensemble , dans le respect de l'altérité.
De 2010 à 2013, notre blog fut visité par mille(1000) lecteurs, avec une publication moyenne de six articles maximum, par année. Absorbé par ma vie professionnelle et mes autres tâches quotidiennes, en plus de mes publications sur facebook, où je fus très actif, j'avais fini par oublier mon blog durant quatre ans. Au grand passage de mon évêque bien aimé, ses mots furent pour moi, un rappel à renouer avec cet outil de communication, un autre "MBONGI", pour poursuivre le partage, à l'écart de l’exhibitionnisme tonitruant de facebook, avec plus de sérieux et de sérénité. Ainsi, nous reprenions donc nos publications au mois de juin 2017 à ce jour !
J'aurai bien voulu diffuser ce message par une vidéo, mais voyant la vulgarité et l'ambiance peu aimable qui pollue la toile avec des messages dont chacun appréciera l'intelligence, j'ai opté de vous rejoindre sur notre terrain de la lecture.
Du 9 juin 2017 au 31 décembre 2017, nous avons publié 90 articles, notre compteur indiquant un historique de 6.592 pages vues, à travers tous les continents. De 1000 visiteurs, nous sommes passé à 2.738 au moment où j'écris cet article.
Qu'il nous soit donc permis de rendre honneur à qui de droit, selon l'ordre numérique des lecteurs les plus intéressés et qui constituent pour nous un encouragement à poursuivre cette animation culturelle dans la réflexion et la recherche de sens à ce qui nous interpelle, face à l'absurde et à la vanité humaine...
En tête de liste se trouve La France avec plusieurs centaines chaque semaine, suivie de la Russie, environ une cinquantaine hebdomadaire, l'Ukraine, le Royaume unis, les USA, le Brésil, le Japon, l'Australie, la Belgique, la Suisse, l'Indonésie et de nombreux pays d'Afrique Subsaharienne, le Maroc, l'Algérie, l'Afrique du Sud et d'autres qui viennent occasionnellement comme le Pérou, le Vietnam, etc.
A tous nos lecteurs, nous disons Matoondo (Merci !) et nous profitons de ces premiers jours de l'an 2018, pour vous adresser nos vœux , les meilleurs et formulons ipso facto la proposition de tenir désormais des conférences sur vos lieux de résidence, en partant des publications qui vous ont intéressé et que vous souhaiteriez approfondir. Mon frère et ami, compagnon de route " mu nzila Koongo", le Koongologue , maître Rudy Mbemba-Dya-Bô-Benazo-Mbanzulu, nous ferons le plaisir de venir partager avec vous l'approfondissement des thématiques évoquées à travers ce blog.
Pour commencer l'année en beauté, nous avons préparé un lot de nos publications que nous offrirons aux cinq premiers lecteurs qui nous enverrons leur adresse postal, avant le 8 janvier 2017. Vous pouvez nous contacter nzenga.kongo@gmail.com ou contact@thauko.com
Aussi, nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie d'un jeu de société dénommé "DeviNDU". Les personnes intéressées peuvent contacter notre chargée de promotion culturelle et commerciale au 0033767414139 ou contact@thauko.com. Rêvons ensemble d'un monde Juste-Humain ! Bonne année à tous, n'oubliez jamais de vous appliquer à la lecture !
Un dernier témoignage sur cet ouvrage, pour nous édifier finalement que Nzenga est un système de paupérisation qui ne dit pas son nom: "MERCREDI 23 JUIN 2010 « Le peu de
dividendes qui en découlent n'ont pas contribué à la transformation de la
misère de notre peuple. Notre région se caractérise encore par des taux élevés
d'analphabétisme, de mortalité, de malnutrition. Les revenus du pétrole qui
devaient transformer cette situation et poser les bases d'un véritable
développement économique sont détournés. »
« Avec la complicité des compagnies pétrolières qui
décaissaient à leur profit des sommes, (les hommes au pouvoir) ont pu assurer
leur sécurité, financer leur parti politique et maintenir leurs amitiés avec
certains dignitaires des anciennes métropoles. Le peuple, pendant ce temps,
souffrait en silence de l'exploitation de son sous-sol au bénéfice des pouvoirs
extravertis, toute parole critique étant subversive et périlleuse… Notre
pétrole est encore, dans bien des cas, la réserve financière privée des
pouvoirs en place. Ils s'en servent à leur guise pour financer l'activité
politique de leur seul parti, le détournement des consciences pendant les élections
et l'achat des armes pour garantir leur sécurité… Notre pétrole est quelquefois
mis en gage pour payer des dettes qui ont servi les intérêts particuliers de
certains de nos concitoyens. »
Ce que relate notre ami Theodulos a fait écho dans ma mémoire
avec ces phrases choc de pasteurs qui ont décidé de parler haut et fort pour
dénoncer la gabegie, la corruption, la mauvaise gouvernance, la violation du
droit fondamental à une vie digne telle que Dieu la propose à ses
enfants.
Cette souffrance accumulée, incarnée, de tant de Congolais,
qui sous-tend toutes ces pages doit pouvoir rejaillir en énergie, en une
énergie positive capable de bousculer et de refonder. Les enfants d'aujourd'hui
doivent pouvoir maîtriser leur avenir dans un Congo où chacun sera libre et
heureux. Ce pays, vaste, riche et peu peuplé a les moyens d'offrir à tous les
bases de son développement pour peu que ses dirigeants soient intègres et le
veuillent vraiment. Je rêve avec Theodulos d'une démocratie où chaque citoyen
participe réellement à la construction de son avenir, de sa communauté, de sa
région, de son pays. Où les élus mettent toute leur intelligence au service de
leur peuple. Où la richesse soit redistribuée pour le bien de tous. Où
l'initiative soit encouragée. Où la solidarité prenne le pas sur la peur. Ce
rêve peut devenir une réalité. Les Congolais doivent s'y employer sans plus
attendre. Ils peuvent compter sur leurs amis pour les aider en ce sens.
Partout où se porte le regard de Theo, il ne voit que morceaux, pièces, lambeaux d'un monde qui se déconstruit. Car en effet, cette pensée unique du monde global qui veut nous faire croire que d'un bout à l'autre de la planète les hommes auraient les mêmes aspirations et les mêmes satisfactions est un leurre...
A travers des textes de réflexion et des pensées constructives, puissions-nous recoller les Nzenga (débris) d'un monde qui ne cesse de s'effriter, par manque de considération et de respect à l'altérité. La dignité humaine est notre passion et le devoir de se souvenir pour transmettre, notre préoccupation: "Nsimu ni mayela", les repères facilitent l'acquisition de la science !