Le challenge est ardu à remporter au milieu des vicissitudes qui rendent ce monde tumultueux, de moins en moins sûr et insécurisé partout. Les réseaux sociaux nous rodent peu à peu à nous habituer à la violence ambiante sans état d'âme, pour finir par être insensible ou indifférent à l'inacceptable.
On nous conseille de manger des fruits et des légumes, mais ils sont imprégné de pesticides et des perturbateurs endocriniens. On veut nous faciliter la vie avec des produits de nettoyage et des cosmétiques pour rendre plus agréable notre vie, mais ils contiennent des cellules cancérigènes. On nous recommande de consommer des protéines, mais les viandes, les poissons et les œufs sont saturé d’hormones et d'OGM... ici également, rien n'est plus sain ! Serait-ce alors le temps de déprimer et de passer tous à la consommation du Bio ? Ironie du sot, que pourrait produire une terre aux eaux souillées et à la terre polluée:"car l'eau que nous consommons n'est plus aussi pure; devenue colorée, odorante, avec saveur, loin des notions traditionnelles de l'eau incolore, inodore et sans saveur ! L'empreinte des pollueurs et des recycleurs est passé par là également. Alors allons-nous cesser d'exister ?" (cf. Madia, autoédition KOUNKOU KUE Théodulos Auguste / 2015).
Drôle de monde aux paradoxes irréconciliables ! Dans cette configuration des choses, les "assoiffés de justice et de paix" devraient boire leur tasse, bien souvent un peu trop pleine. Le gain d'argent sans vergogne attise tellement de la convoitise qu'il semble quasiment normal d'enjamber des cadavres pour parvenir à ses fins. On crée des conflits armés pour vendre du tout sécuritaire, pourvu que cela amasse de l'argent pour les uns et tant pis pour les autres ! Serions-nous déjà dans "le meilleur des mondes " d'Aldous Huxley ? Les questions suscitées par la bioéthique nous rapproche de celui-ci, augurant le désenchantement d'un monde "empêtré dans les histoires" comme l'aurait évoqué Wilhelm Schapp. Un monde empêtré, disions-nous entre convulsions économiques, crise écologique et crise profonde de sens. L'humanité s'installe inconfortablement dans une crise anthropologique à n'en point douter, avec toutes nos luttes pour la survie (struggle for the live) dans un monde où chaque être humain aurait du avoir les chances d'une vie vie agréable, au regard des performances réalisées par l’essor scientifique et technologique du siècle dernier qui continue à nous propulser vers l'incognito !
La jeunesse est livrée aux plaisirs faciles, à la dépravation des mœurs, au mirage des sommes d'argents faramineuses pour si peu d'efforts. De la musique à foison plein les oreilles, des jeux et de la danse ! Et si l'avenir à inventer n'était plus qu'un retour vers le passé, un passé jamais dépassé ( Kikulu) !
Que s'éveillent les braves pour enchanter notre monde qui a mal à son humanité. Que se réveillent les rêveurs d'un monde encore possible où l'humanité pourrait de nouveau s'identifier et se reconnaître. ( article en cours de rédaction). THAUKO.COM à votre service !
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