Ô Seigneur, je t'offre ce billet de cent francs, en ses mystères joyeux, en ses mystères douloureux. Je te dis merci pour toute la vie et la joie qu'il a donné. Je te demande pardon pour le mal qu'il a fait. Mais surtout, Seigneur, je te l'offre pour tout le travail d'homme, pour toute la peine d'homme dont il est le symbole et qui, demain enfin, monnaie inattaquable, sera changé en ta vie éternelle" ( cf. NKAADI, p. 143, auto édition KOUNKOU KUE Theodulos Auguste -2017). THAUKO.COM à votre service !
vendredi 8 septembre 2017
Pensée du week-end du 9 au 10 septembre : Le pouvoir de l'argent et ses faiblesses !
C'est avec un grand plaisir que je vous invite à méditer sur la prière de Michel Quoist devant un billet de cent francs et sur la chanson de Frère Patrice. Vous souhaitant amicalement un bon week-end !
"Seigneur, voit ce billet, il me fait peur. Tu connais son histoire. Comme il est lourd. Il m'impressionne car il ne parle pas, il ne dira jamais tout ce qu'il représente d'efforts et de luttes. Il porte sur lui la sueur humaine, il est tâché de sang, de désillusion, de dignité bafouée. Il est riche de tout le poids de travail humain qu'il contient et qui fait sa valeur. Il est lourd, lourd, Seigneur. Il m'impressionne, il me fait peur, car il a des morts sur la conscience, tous les pauvres types qui se sont tués à la tâche, pour lui... pour l'avoir, pour le posséder quelques heures, pour obtenir de lui un peu de plaisir, de joie, de vie. En combien de doigts est-il passé, Seigneur ? Et qu'a-t-il fait en ces longs voyages silencieux ? Il a offert des roses blanches à la fiancée rayonnante, il a payé des dragées du baptême, nourri le bébé rose. C'est lui qui mit le pain à la table du foyer. Il a permis le rire des jeunes et la joie des aînés. Il a donne le livre qui instruit le gamin, il a vêtu la vierge. Mais il a envoyé la lettre de rupture. Il a payé, dans le sein de la mère, le meurtre du petit. C'est lui qui distribua l'alcool et fit l'ivrogne. Il a protégé le film interdit aux enfants et enregistré le disque dégoûtant. Il a séduit l'adolescent et fait de l'adulte, un voleur. Pour quelques heures, il a acheté le cœur d'une femme. C'est lui qui paya l'arme du crime et les planches d'un cercueil.
Ô Seigneur, je t'offre ce billet de cent francs, en ses mystères joyeux, en ses mystères douloureux. Je te dis merci pour toute la vie et la joie qu'il a donné. Je te demande pardon pour le mal qu'il a fait. Mais surtout, Seigneur, je te l'offre pour tout le travail d'homme, pour toute la peine d'homme dont il est le symbole et qui, demain enfin, monnaie inattaquable, sera changé en ta vie éternelle" ( cf. NKAADI, p. 143, auto édition KOUNKOU KUE Theodulos Auguste -2017). THAUKO.COM à votre service !
Ô Seigneur, je t'offre ce billet de cent francs, en ses mystères joyeux, en ses mystères douloureux. Je te dis merci pour toute la vie et la joie qu'il a donné. Je te demande pardon pour le mal qu'il a fait. Mais surtout, Seigneur, je te l'offre pour tout le travail d'homme, pour toute la peine d'homme dont il est le symbole et qui, demain enfin, monnaie inattaquable, sera changé en ta vie éternelle" ( cf. NKAADI, p. 143, auto édition KOUNKOU KUE Theodulos Auguste -2017). THAUKO.COM à votre service !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire